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Il ne devrait pas tarder à sortir…

Pour patienter et vous donner une petite idée de mes dernières élucubrations en voici le préambule…

PRÉAMBULE ET FARIBOLES

Œuvre de pure imagination, « La Pandémie » n’est en aucun cas un roman à clés même si une lecture suspicieuse ou superficielle pourrait le laisser supposer. Inutile de chercher cadenas, verrous ou trous de serrure. Pas question non plus d’appeler à la rescousse un quelconque serrurier de la bien pensance à sens unique. Toute ressemblance avec des personnages ou des lieux existants ou ayant existé ne saurait donc être que fortuite ou le fruit d’un malicieux hasard dont l’auteur ne veut pas entendre parler.

Les sous-titres des chapitres ne sont que des clins d’œil n’ayant qu’un lointain rapport, voire aucun, avec le récit proprement dit. Leur seul intérêt est d’inciter à aller consulter Messires Robert, Larousse ou Littré, en cas de besoin évidemment, juste histoire de vérifier quelques éventuelles connaissances lexicales vacillantes ou lacunaires. Une sorte de piqure de rappel culturel, de pastille Vlada pour adoucir la gorge ou de confiture Bonne Mamy à étaler sur la tartine de c… ambiante… Normal avec un pareil sujet. En effet, comme dirait l’autre, la culture est ce qui reste quand on a tout oublié. Et, telle la confiture des jours maigres, moins on en possède, plus on l’étale. Mais, attention à ne pas la laisser tomber, la prétentieuse rebelle, cultivée sans OGM, fongicides ni pesticides. Car contrairement au chat qui retombe toujours sur ses pattes, la tartine culturelle, cette résistante de la dernière heure, cette fanfaronne de l’ultime rempart a la malice de systématiquement atterrir du mauvais côté…

La culture étant bien étalée et la tartine élégamment clouée au pilori, maintenant vous pouvez sortir vos révolvers et vous offrir un beau carton en l’honneur de deux affreux faux jumeaux prénommés Joseph qui se reconnaîtront au passage ! Bonne lecture…

Et en prime

La quatrième de couverture

Bertrand-Hector de Ville, le philosophe le plus célèbre de l’Hexagone est retrouvé sauvagement assassiné dans sa propriété du sud de l’Espagne. Un à un, plusieurs de ses amis croisent la route d’un mystérieux tueur psychopathe qui semble vouloir s’ingénier à mettre en scène ses crimes dans un style totalement grand guignolesque… En même temps, se déchaîne une étrange épidémie de grippe due au S3N1, un dangereux virus mutant qui pousse certains malades à des comportements aussi bizarres que de se mettre à noircir page après page, sans jamais pouvoir s’arrêter.

Un thriller haletant et déjanté, agrémenté d’une bonne dose d’humour et de dérision qui entraîne le lecteur dans un tourbillon d’aventures tout en l’amenant à réfléchir sur certaines dérives de nos sociétés évoluées. À découvrir absolument.

(À suivre… le chapitre 1…)

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